Les joies des congés parentaux

Grâce au régime québécois d’assurance parentale, nous bénéficions de 52 semaines de congés à nous partager pour profiter de Maxime. Et comme elle n’a pas encore pu voir le reste de sa famille, nous passerons un Noël de 6 semaines en France.

La première chose qu’on réalise, c’est qu’il ne faut pas confondre congés parentaux et vacances!! On ralentit le rythme c’est sur et on se repose sur les grands parents pour les taches du quotidien (courses, lessive..), mais on reste quand même sur le fuseau horaire de Maxime et les journées s’enchainent! Voici un peu le programme:

Rencontrer (enfin!) la famille

On a pu partager notre quotidien (et celui de Maxime) avec nos familles, ce qui à rappelé des souvenirs a certain(e)s et a fait découvrir les joies de vivre avec un nourrisson!

Rencontre avec Mamina, Krishna et Moumye

Rencontre avec Kuma-San et Papy Jeff

Rencontre avec tonton Pilou et tonton Nini

On a pu aussi profiter de toute la famille pour faire le plein de ballades

Découvrir la nature en faisant le tour de la propriété à Gajac

mais aussi vivre plein de nouvelles choses:

On a aussi pu prendre le temps de faire découvrir à notre petite chouette les plaisir de la gastronomie française, enfin surtout des purées et des soupes.. et des pruneaux pour aider le transit! Tout le monde y est allé de son coup de cuillère.

et les grands n’ont a pas oublié d’ouvrir quelques bouteilles pour célébrer!

C’est aussi l’occasion de faire des photos tous ensemble et laisser une trace de cet amour de famille qu’on est si content de partager.

Se reposer

Les congés parentaux c’est beaucoup d’attention et d’amour pour le bébé mais c’est aussi l’occasion pour les parents de prendre un peu de temps “off”, pour soi ou tous les deux sans le bébé. Lire un bouquin, profiter d’une matinée de vélo, de quelques kilomètres de course à pied..

On cuisine avec les produits de la ferme ou le Magimix, on apprécie les bières belges et les bières locales avec les papas et les tontons, on explique comment faire du pain et se fait expliquer comment construire un four à pain en argile, on fait des gauffres dans la cheminée et on profite aussi de la cuisine des autres!

On en profites aussi pour voir les vieux copains/copines, à Lyon ou à Uzès

À Gajac, on a le temps de faire de longues marches en forêt… qui finissent parfois les fesses dans la boue!

On apprécie le givre matinal, on suit le ruisseau et on (re)découvre la nature.

On n’a pas vu le temps passer mais en même temps on a pu profiter pleinement de nos familles et de Maxime. On rentre ressourcés a Montréal, prêts à continuer cette belle aventure!

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